Daniel DURAND

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Biographie :

Né le 26 juin 1947 à Vecoux (Vosges), marié, 3 enfants, 3 petits-enfants, 3 arrière-petits-enfants
Maîtrisant déjà à 4 ans la lecture et l'écriture, j'ai composé mes premiers alexandrins à seulement 10 ans.

Pendant ½ siècle, j'ai écrit uniquement de la poésie, surtout classique (je suis en effet très attaché aux règles de prosodie) avec publication de divers recueils :

  • Des mots et des rimes
  • Les mots filent
  • La pléiades des poètes de l'an 2000 Tomes 1 et 2 (ouvrages coécrits avec 6 autres auteurs)
  • Allons prendre un vers
  • La vie en vers
  • Des rimes à foison

C'est arrivé à l'âge de la retraite que je me suis lancé dans la prose, avec un livre de politique fiction (Un si long sommeil).
J'ai ensuite envoyé le manuscrit de mon premier polar (La Vedette) à Patrice Dard -le fils de Frédéric, créateur du personnage de San-Antonio et lui-même écrivain- pour avoir son avis sur la « qualité » de mon style.
Non seulement il m'a dit l'avoir lu d'une traite et avec grand plaisir mais il a accepté de m'en faire la préface, ce qui m'a encouragé à persévérer dans l'écriture.

 

Bibliographie :

La Vedette (Roman policier)
Nous sommes en 1965. Six jeunes gens partent en virée avec une Ford Vedette des années 50 prêtée par le père du conducteur. Ils garent le véhicule sur la place du marché à Montbéliard, et se séparent pour « draguer » un peu.

De retour à la voiture une heure et demi plus tard, ils découvrent à l'intérieur une jeune fille étranglée, la petite copine du Don Juan de la bande. Paniqués, ils prennent la fuite pour se cacher dans les bois, mais ils auront bientôt la preuve que l'assassin est l'un d'eux.

Les autres pourront-ils démasquer le coupable avant que la police ne les retrouve...?

Homicide par insouciance (Roman policier)
Un avocat, un directeur d'agence bancaire, un enseignant, un garagiste...

Quel point commun pouvaient bien avoir ces quatre personnes assassinées de façon particulièrement barbare ?

Seule la réponse à cette question permettra la découverte d'un coupable pour le moins inattendu.

Temoignage accablant (Roman policier)
Joël ROCHEVAL, un restaurateur de Besançon, est catégorique : il n'a jamais rencontré la victime.Alors, comment peut-on trouver son ADN sur le corps d'une jeune prostituée sauvagement assassinée ?

D'autre part, quel rapport y a-t-il entre son procès et le journal intime tenu par une adolescente en vacances dans l'Hérault une trentaine d'années auparavant ?

Aux limites de l'etrange (Fantastique)
- Une paire de chaussures peut-elle vous obliger à agir contre votre gré ?

- Comment se terminera le cauchemar que PAT fait toutes les nuits ?

- Que feriez-vous si un objet anodin vous permettait de modifier le passé ?

- Imaginez que tout ce que vous tapez sur cette machine à écrire « spéciale » se réalise.

- Quelle terrible vengeance la jolie Nahéma réserve-t-elle à son violeur ?
… et 3 autres histoires qui vous plongeront au cœur du fantastique.

L'extraordinaire semaine de monsieur fluet (Humour)
Adhémar Léonce Gédéon Fluet, adjoint de troisième classe du sous-chef de bureau au Ministère des Décorations pour les Agents du Trésor Public du Quart Nord-Est du Troisième Arrondissement de Paris, va voir sa vie routinière bouleversée par une série d'événements pour le moins inhabituels.

Comme gagner un lot surprenant à une tombola, se trouver mêlé malgré lui à une tentative d'évasion, devoir prouver qu'il n'est pas mort, être pris en otage lors d'un hold-up...

Neuf aventures d'un humour extrême.

Des rimes à foison (Poésie classique)
La poésie n'est pas, comme certains l'imaginent, un langage hermétique uniquement accessible à certains « initiés », mais doit être compréhensible par tous à première lecture.

La poésie classique demande un respect rigoureux des règles de la prosodie, mais cela ne nuit en rien, bien au contraire, au plaisir du poète et partant, du lecteur.

Redécouvrez ici les charmes des sonnets, ballades, rondels et autres triolets.

Ben faut voir... Hein ?
Et bien sûr « Mon » San-Antonio...!

(Avec l'autorisation de Patrice DARD, titulaire des droits sur le personnage)

De même qu'un copiste peint « sa » Joconde sans pour autant se prendre pour Léonard de Vinci, j'ai voulu écrire mon San-Antonio, pastiche, imitation, parodie, comme tu voudras.

Encore une fois, je n'ai aucunement la prétention d'être « calife à la place du calife », j'ai simplement voulu rendre un hommage à celui qui fut -et qui reste- d'une certaine manière, mon maître à penser.

 

Citation ou court extrait :

Mireille s’est levé d’un bond.
— Parce que tu crois que je vous ai fait venir chez moi uniquement pour vous offrir à boire ?
Aïe ! Mon inquiétude initiale était justifiée. Avec une certaine appréhension, j'ai demandé :
—  Qu’est-ce que tu attends de nous, au juste ?
Un léger sourire s'est dessiné sur ses lèvres.
—  De ton copain, rien...
—  Alors... de moi ?
Le sourire s'est accentué.
— Mais tout simplement que tu me consacres cette nuit, mon chéri.


La Vedette